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15 janvier 2021 5 15 /01 /janvier /2021 18:09

Information importante : une campagne d’attaque est en cours et nécessite votre plus grande vigilance.


Cette campagne nommée “Emotet” compromet les boîtes aux lettres de vos correspondants et utilise vos précédents échanges pour vous tromper. Le pirate vous transmet un email qui s’apparente à une réponse de l’un de vos correspondants (le sujet est identique et contient RE:). Cette réponse contient généralement une pièce jointe (un document Word) ou un lien vous invitant à télécharger un document. Une fois le fichier ouvert, Word vous invite à activer les macros, ce qui déclenche le code malveillant et permet au pirate de récupérer des informations sur votre poste. Le code peut également se répandre sur d’autres postes de votre réseau.

 

Les équipes de Mailinblack font tout leur possible pour que ces emails n’arrivent pas dans votre boîte mail.

 

Mailinblack est la solution de protection de la messagerie de la mairie permettant de filtrer les e-mails.  Cet article en est une recommandation qui pourrait vous servir aussi.

 

Que faire ?

 

Soyez vigilant lors de l’ouverture d’un email.

Si le contenu vous semble étrange (fautes, échange non attendu ou incohérent de la part du correspondant), n’ouvrez pas les pièces jointes et n’accédez pas aux liens inclus dans l’email, demandez conseil à votre administrateur.

Ne vous fiez pas à l’adresse email, ni aux noms et prénoms affichés dans votre client de messagerie, qui peuvent aisément être usurpés.

Lors de l’ouverture d’un document Word, ne cliquez pas sur “Activer le contenu” dans le bandeau affiché.


Si vous avez un doute, contactez votre correspondant par un autre moyen (téléphone, messagerie instantanée, etc.) pour confirmer qu’il s’agit bien d’un envoi légitime de sa part.

 

Les recommandations de l’ANSSI

 

Si vous souhaitez davantage d’informations concernant cette campagne, l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) a publié un bulletin d’alerte détaillé décrivant plus précisément le fonctionnement d’Emotet, son mode opératoire, les quelques solutions pour tenter de le détecter, ainsi que des recommandations aux utilisateurs et administrateurs pour mieux s’en protéger.

Les équipes de Mailinblack ont appliqué es mesures préconisées par l’ANSSI et continuent d’identifier/bloquer de nouvelles variantes d’Emotet.

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23 avril 2020 4 23 /04 /avril /2020 09:22

 

Maison des associations

Malgré cette crise sanitaire, quelques entreprises travaillent et de ce fait les travaux commandés pour la réfection de la maison des associations, avenue du Général De Gaulle, qui sera louée à la MAM, avancent. L’entreprise NAVARRO a changé les fenêtres. L’entreprise LIND a réalisé les faux plafonds, l’isolement du mur intérieur côté ouest et sous l’escalier qui monte à l’étage. Elle continue la rénovation des murs (toile de verre, peinture) puis elle terminera par la pose des revêtements de sol dans les deux grandes pièces. L’entreprise BOURBONNAIS a réalisé le ramonage d’une cheminée, dans laquelle il y avait beaucoup de bistre, et a remplacé les deux WC. Certains travaux n’étaient pas prévus mais en rénovation on découvre souvent des surprises pour lesquelles il faut s’adapter. Christophe Te Dunne, adjoint aux travaux, suit ces travaux en collaboration avec Laurent, notre responsable technique.

Terrain de foot

La saison de football s’étant terminée prématurément, les travaux sur le terrain, remis depuis deux ans à cause de la sécheresse, vont pouvoir débuter plus tôt que prévu afin de l’aplanir puisque des affaissements sont apparus. C’est l’entreprise TECHNIGAZON, spécialiste des terrains de sport, qui les réalisera.

Poste de relevage pour l'assainissement

Les pompes vétustes et usées de la station de relevage de la rue du Moulin ont été remplacées. Leurs capacités permettent un meilleur fonctionnement du rejet des effluents vers la station d’épuration.

Éclairage public

Le marché de l’éclairage public arrive à son terme. Néanmoins il y a eu quelques oublis dans le marché : certains projecteurs gourmands en énergie comme au parking du terrain de foot et quelques zones sombres comme à l'entrée du village au Pont Biotte.

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18 juillet 2019 4 18 /07 /juillet /2019 15:49

Par arrêté préfectoral n° 2019-7147 en date du 18 juillet 2019, les usages de l'eau sont réglementés en vue de la préservation de la ressource. Les bassins versants de la Meuse dont Pagny sur Meuse sont placés en état d'alerte.

 

Restriction des usages de l'eau : alerte sécheresse
Restriction des usages de l'eau : alerte sécheresse
Restriction des usages de l'eau : alerte sécheresse
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15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 20:51

Les BURE Haleurs sont un groupe de musiciens militants. Ils se produiront à Pagny le vendredi 26 juillet à 18 h au terrain de sport scolaire.

 

Leur objectif est de rencontrer les populations, les élus et responsables afin de les informer sur le projet CIGEO à Bure.

 

Ce projet se propose d'enfouir à 500 m sous terre les déchets nucléaires de haute et moyenne activité à vie longue, produits en France depuis 50 ans, ainsi que ceux à venir.

 

Avec le Halage du Débat, les Bure Haleurs lancent l'alerte : les réels tenants et aboutissants du projet demeurent très flous pour le public.  Leur tournée depuis Trèves (Allemagne) jusqu'à Bure vise à mettre la lumière sur les zones d'ombres de CIGEO

Bure, bure haleurs et Projet CIGEO
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9 juin 2019 7 09 /06 /juin /2019 09:48

 

L’eau destinée à la consommation humaine est régulièrement contrôlée par un laboratoire désigné par l’Agence Régionale de Santé (ARS). Tous les mois pour les paramètres les plus courants. Le 10 mai, l’eau prélevée au château d’eau a fait l’objet d’analyses approfondies : plus de 220 paramètres ont été mesurés. Avec une conclusion lapidaire : « Eau d’alimentation conforme aux exigences de qualité en vigueur pour l’ensemble des paramètres mesurés. »

 

Sont scrutés : paramètres microbiologiques, minéralisation, matières organiques, paramètres azotes et phosphores, micropolluants organiques et minéraux, fer et manganèse, composés organohalogènes volatils et semi-volatils, sous-produits de désinfection, de très nombreux pesticides, radioactivité, hydrocarbures.

 

Les 154 pesticides analysés, aux noms indigestes, dont atrazine et glyphosate, sont tous présents dans l’eau mais tous en dessous du seuil réglementaire, la plupart à moins de 10 fois la limite autorisée.

 

Même s’ils sont largement en dessous des limites admises, il n’en demeure pas moins qu’ils sont là et qu’ils ne sont pas des produits naturels. On peut s’interroger sur leur origine.

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19 avril 2019 5 19 /04 /avril /2019 16:13

 


Le téléphone portable serait le principal contributeur de l’exposition aux ondes électromagnétiques.

 

Ci-dessous un article de Maire-info de l'Association des Maires de France.

 

Chargée de veiller au respect des valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques - comprises entre 28 V/m et 87 V/m (décret du 3 mai 2002) -, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) a rendu son verdict : « la conformité du niveau d’exposition aux champs électromagnétiques […] a été déclarée sur tous les sites ayant fait l’objet d’une mesure », écrit l’administration dans son étude annuelle rendue publique ce mois-ci. Seul un site - sur les 3 068 lieux qui ont fait l’objet de mesures en 2018 - a dû être « traité ».

Dans ses conclusions, l’ANFR retient principalement que 90 % des niveaux mesurés apparaissent « inférieurs à 1,8 V/m », qu’ils sont « plus élevés en milieu urbain qu’en milieu rural ». La téléphonie mobile est le principal contributeur de l'exposition aux ondes électromagnétiques dans plus de 60 % des cas. La majorité de ces résultats proviennent de mesures réalisées en milieu urbain (84 %) et en intérieur (64 %). Plus de la moitié de ces dernières (56 %) ont concerné les lieux d’habitation et 23 % des espaces publics.



Un protocole de mesure de l’exposition

L’ANFR suit à la lettre son « protocole de mesure de l’exposition ». De manière globale (« cas A ») ou détaillée (« cas B »), il vise principalement à « évaluer le niveau d’exposition induit par les équipements fixes utilisés dans les réseaux de télécommunication ou par les installations radioélectriques fixes », explique l’Agence. Des laboratoires de mesure accrédités par le Comité français d’accréditation (Cofrac), « qui doivent respecter des critères d’indépendance », sont ensuite chargés de vérifier « la conformité des niveaux d’exposition vis-à-vis des valeurs limites réglementaires ».

Une mesure détaillée (« cas B du protocole ») a été réalisée dans 2 337 des 3 068 cas expertisés. Il en ressort que « les principales sources d’exposition mesurées sont la téléphonie mobile (TM), les services HF, le WiFi et les services de radiodiffusion FM », souligne l’Agence. Dans 62 % des cas, la téléphonie mobile est « le contributeur principal de l’exposition mesurée ». Cette tendance est « moins marquée en milieu rural » (39 % des cas). Elle est en revanche « plus marquée en extérieur où, dans plus de 79 % des cas, la téléphonie mobile apparaît comme le contributeur principal ».

Lorsque la téléphonie mobile est le contributeur principal (c’est-à-dire dans 1 447 cas sur 2 337 cas B), « le niveau d’exposition le plus important est dans près de 50 % des cas observés dans la bande 900 MHz de la téléphonie mobile ».



Les demandes de mesures ouvertes à tous

Dans le cadre du dispositif national de surveillance, mis en place par la loi du 3 août 2009, « toute personne physique ou morale peut demander à faire mesurer l’exposition aux ondes électromagnétiques aussi bien dans les locaux d’habitation que dans des lieux accessibles au public (parcs, commerces...) ». La démarche est gratuite, rappelle l’ANFR. « La personne qui souhaite faire réaliser une mesure remplit un formulaire de demande, téléchargeable sur le site internet www.service-public.fr ».

Ce formulaire doit être contre-signé par un organisme habilité par le décret du 14 décembre 2013 : collectivités locales (communes, groupements de communes…), agences régionales de santé, certaines associations agréées par le ministère de l’Environnement ou le ministère de la Santé.


Ludovic Galtier

Télécharger l'étude de l'ANFR.

Accéder au site de demande de mesure.

Accéder à Cartoradio, la carte des antennes et des mesures radioélectriques.

 


www.maire-info.com © AMF
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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 15:08

Les mairies ne sont pas encore officiellement au courant. Je l'apprends en allant à la pêche aux informations par un communiqué de l'Association des Maires de France. La proximité de Bure n'a pas pesé sur l'information.

 

Ci-dessous l'article de Maire-Info du jeudi 18 avril. Bonnes réflexions !

 

 

Le débat national sur la gestion des matières et déchets radioactifs lancé mercredi 17 avril va tenter d’éclairer les citoyens sur un dossier complexe, miroir des clivages autour du nucléaire qui engage la société pour les siècles à venir.

Dans un pays qui possède le deuxième parc de réacteurs nucléaires au monde, ce débat est « l’héritier d’une histoire conflictuelle », a noté la présidente de la Commission nationale du débat public Chantal Jouanno lors d’une conférence de presse. « Nous voulons essayer de dépasser les clivages, dépasser la simple opposition (...) qui peut être stérile », a ajouté Isabelle Harel-Dutirou, présidente de la commission particulière qui l’organise jusqu’au 25 septembre.

« Tout le monde s’accorde à dire que nous devons aujourd’hui prendre des décisions qui préservent les générations futures (...) mais à partir de là, les solutions divergent », a-t-elle expliqué à l’AFP. « Certains disent que notre responsabilité est de ne pas obérer l’avenir des générations futures en ne laissant pas un héritage impossible à gérer ».

Dans ce camp se trouvent les ONG opposées notamment au projet Cigéo d’enfouissement des déchets à 500 mètres de profondeur à Bure (Meuse), qui veulent attendre de possibles avancées de la science avant de choisir une solution qu’elles jugent irréversible.

« À l’inverse, d’autres disent que notre responsabilité est de prendre aujourd’hui les décisions qui s’imposent », ajoute Isabelle Harel-Dutirou. Ainsi, les législateurs ont voté en 2006 une loi faisant le choix du stockage en couche géologique profonde des déchets les plus dangereux, ce qui a conduit au projet Cigéo.

Alors certains s’interrogent sur l’utilité d’un nouveau débat sur ce choix déjà tranché, et de manière générale sur la façon dont les discussions seront prises en compte pour la rédaction du 5e Plan national pour la gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) 2019-2021.

« Débattre n’a pas de sens si les choix sur ce sujet sont déjà verrouillés », dénonce ainsi le Réseau Sortir du nucléaire, qui a décidé de ne pas participer. « A quoi bon débattre des options de gestion de ces substances ingérables si la seule solution réellement existante, à savoir l’arrêt de leur production, est exclue par les pouvoirs publics », poursuit l’ONG, alors que le gouvernement a repoussé de 2025 à 2035 l’objectif d’abaisser à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité.



Un sujet « méconnu »

Fin 2017, la France comptait 1,62 million de m3 de déchets radioactifs, selon le dernier inventaire de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Les déchets de haute activité (HA), qui peuvent être radioactifs jusqu’à des centaines de milliers d’années, représentent 0,2%, soit l’équivalent du volume d’une piscine olympique, mais 94,9% du niveau de radioactivité, et doivent le temps venu rejoindre Cigéo.

La commission organisant le débat n’éludera pas non plus la question des « risques » souvent associés aux substances radioactives.

« C’est un sujet qui reste méconnu, sur lequel quelques idées reçues sont véhiculées alors que depuis des dizaines d’années (...) on a fait beaucoup de progrès, le système de gestion des déchets fonctionne bien et de manière sûre », assure de son côté Sylvain Granger, responsable de la gestion des déchets chez EDF.

Mais les déchets ne sont pas les seuls en question. Dans un pays qui a fait le choix controversé du retraitement, les « matières », c’est-à-dire les substances radioactives pour lesquelles une « utilisation ultérieure est prévue ou envisagée », devraient être également au cœur du débat. (AFP)

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13 avril 2019 6 13 /04 /avril /2019 08:56

Vous pouvez aider avant l'arrivée des services de secours. Le SDIS Meuse l'utilise.

Bon samaritain
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30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 16:56

 

L'eau ne coule plus, ni à la chapelle de Massey, ni aux Trois Fontaines. Mais pas d'alerte au niveau de notre nappe phréatique.

 

A noter cependant qu'un arrêté préfectoral fixant les mesures de restrictions des usages de l'eau a été pris en date du 29 octobre 2018.

 

Niveau alerte renforcée jusqu'au 30 novembre.

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1 octobre 2018 1 01 /10 /octobre /2018 16:30

L'observatoire de la sécheresse a placé notre village en situation d'alerte renforcée.

 

Un arrêté préfectoral fixant les mesures de restrictions des usages de l'eau a été pris, en vigueur jusqu'au 31 octobre.

 

Restriction des usages

 

Sécheresse - Niveau Alerte Renforcée
Sécheresse - Niveau Alerte Renforcée
Sécheresse - Niveau Alerte Renforcée
Sécheresse - Niveau Alerte Renforcée
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