J’ai envoyés à Madame le Préfet, en date des 12 et 13 novembre, deux courriers, avant et après l'intervention de M. Castex pour lui demander une dérogation d’ouverture pour le salon de coiffure et le salon de beauté de notre village. Modeste soutien à ce type de commerces. Mais si on ne dit rien, il ne se passera rien non plus.
Je pense qu’il est stupide d’interdire l’exercice d’un commerce dans lequel il n’y aurait que 2 personnes, la propriétaire du salon et un client. Le risque de contamination est minime comparé à la foule de gens qui se côtoient dans une grande surface. Je ne dois pas être le seul à avancer cet argument, mais j’avais envie de le dire (et d’autres choses aussi) et le faire savoir à l’échelle de la préfecture en espérant que mes propos remontent au-delà et que l’avis et le ressenti du terrain doit compter. L’exaspération grandit dans tous les petits commerces de France.
J'ai également sollicité député et sénateurs afin de faire remonter mes propos et agir au niveau de leurs champs de compétence.
A défaut de miracle, on pourrait s’attendre à un peu de bon sens de la part de l’Etat qui ne semble toujours pas comprendre que dans une grande ville ou dans un petit village, on peut avoir des règles différentes et qu’un maire sait mieux que quiconque où l’on peut déroger.