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9 février 2018 5 09 /02 /février /2018 16:45

 

L'Agence Régionale de Santé (ARS) prélève chaque mois un échantillon d'eau pour l'analyser ensuite et donner sa conclusion sanitaire sur ce prélèvement.

 

Le prélèvement n° 00084000 a été effectué le 17 janvier à 8h 14 sur un robinet de l'atelier des services techniques, analysé par le laboratoire IPL santé environnement durable de Maxéville.

 

La conclusion sanitaire est la suivante : "Eau d'alimentation conforme aux exigences de qualité en vigueur pour l'ensemble des paramètres mesurés".

 

Elle apporte un démenti officiel à la rumeur qui avait couru, en janvier, disant que l'eau était impropre à la consommation parce que les enfants de la maternelle buvait de l'eau en bouteilles (une des raisons est que l'eau du robinet est trop froide pour les enfants.)

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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 10:06

 

Les travaux ont commencé le 1er Février. Au préalable, les employés communaux avaient coupé toutes les ronces, arbres ou rejets qui envahissaient certaines parties du talus.

 

L'entreprise a dessouché plusieurs arbustes ou rejets, aplani et ameubli le talus en ménageant un passage entre le bas du talus et les propriétés de façon à permettre le passage d'une tondeuse pour l'entretien.

Mise en forme du talus du lotissement des Jardins.
Mise en forme du talus du lotissement des Jardins.

Le talus a été recouvert d'une bâche afin d'éviter la prolifération d'une végétation difficile à couper. De nombreux plants ont été fixés sur ce talus de manière à ce que, à terme, ils forment un couvre-sol dont l'entretien devrait être minimisé et faisant disparaitre la bâche.

 

Les travaux ont duré une petite semaine. Dans des conditions pas forcément agréables pour les ouvriers, la température étant proche de 0°.

Mise en forme du talus du lotissement des Jardins.
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4 janvier 2018 4 04 /01 /janvier /2018 17:07

 

De façon très visible, on peut constater que l'eau monte un peu partout. La plaine se remplit, les ruisseaux, rivières et fossés aussi. Et il pleut toujours.

 

Notre département est en vigilance orange pour les pluies.

 

Ne tentez pas le diable si vous allez à Troussey. L'eau recouvre déjà la route.

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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 09:56

Vendredi 1er  décembre.

 

Première sortie du nouveau tracteur qui remplace donc l'ancien sur lequel on pouvait s'attendre à des pannes et à des entretiens de plus en plus onéreux et qui venait d'être livré la semaine précédente.

 

Première sortie avec la lame de déneigement qui n'a pratiquement jamais été utilisée. Première sortie avec la saleuse achetée l'an dernier mais qui n'a jamais servi. Le sel tombe verticalement sur la chaussée, il n'est plus projeté sur les bas côtés.

Et première sortie de l'engin avec le nouveau responsable technique, d'astreinte.

 

Le gros tracteur équipé n'est pas le seul matériel de déneigement. En prévision le petit tracteur Kubota avait été équipé d'une lame. Il intervient dans des endroits restreints (écoles, parkings, trottoirs lorsque cela est possible). Nous avons aussi de petit épandeurs de sel sur roues et il reste, bien évidemment, la pelle à neige.

 

 

Le tracteur nouveau est arrivé
Le tracteur nouveau est arrivé
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27 novembre 2017 1 27 /11 /novembre /2017 00:00

 

Le vinaigre blanc est la star de la maison naturelle : produit ménager miracle, désherbant idéal... Depuis quelques années, ses mérites sont vantés sur internet et dans les maga­zines. Mais ses effets sur l'environnement n'ont pas encore pu être mesurés. La FREDON (fédération régionale de défense contre les organismes nuisibles) met en garde contre cette image d'Epinal.

 

Si l'utilisation de ce produit part d'une intention louable, elle peut être trompeuse pour les gestion­naires d'espaces verts. «C'est une tendance qui s'est très vite générali­sée. Mais contrairement à une idée répandue, un produit naturel n'est pas forcément un produit sans consé­quence sur l'environnement.»

 

Cela s'explique par une logique simple : avant sa commercialisation, tout pro­duit phytosanitaire fait l'objet d'une autorisation de mise sur le marché, qui impose une étude des risques qu'il représente dans son utilisation prévue. Le vinaigre blanc n'étant pas commercialisé pour un usage spécifi­quement destiné au jardin, ses effets à terme sur le sol n'ont jamais été tes­tés et mesurés : cela en fait un produit phytosanitaire dont l'usage est inter­dit par la loi.

 

«Déjà avec de simples observations, on peut constater que le vinaigre modifie le taux d'acidité du sol et a un impact visible sur la flore : ça n'est pas sans conséquence sur la durée ! Mais nous ne savons pas encore dans quelle mesure, car le phénomène est très nouveau.»

 

En attendant des études sur le sujet, la FREDON effectue déjà un démenti systématique auprès des collectivi­tés et communes. «Nous essayons de sensibiliser un maximum sur le sujet. Que quelques particuliers aient cette pratique est une chose, mais si une majorité de communes s'ajoute à cette tendance, on peut se retrouver avec des problèmes de pollution du sol et de l'eau à grande échelle. Le vinaigre blanc est souvent utilisé cou­plé au sel... dont on voit déjà bien les effets en hiver sur le bord des routes : il empêche la végétation de revenir à la saison suivante.» Acidification du sol, effets potentiels sur la faune et la micro-faune... les dangers restent préoccupants et méritent l'attention des utilisateurs.

 

 

Des alternatives sans danger pour l'environnement
 

La FREDON conseille donc de garder le vinaigre blanc et le sel dans le placard de la cuisine.

 

Pour les espaces verts, le meilleur outil reste le bon sens : pour désherber sans risquer de polluer, il faut tout simplement éviter de verser ou déposer des produits sur le sol et les plantes. Impossible ?

 

« On y pense moins, mais la meilleure façon de se débarrasser d'une plante qui pose problème, c'est tout simplement de la déraciner manuellement ou mécaniquement. On préconise le retour de la binette !».

 

Pour les sols non perméables, on pensera au désherbage thermique : l'eau chaude ou le brûleur (utilisé ponctuellement) sont aussi efficaces que le vinaigre, et sans impact sur la nature des sols.

 

Mais dans la gestion des espaces verts d'une commune, l'idéal serait d'élégamment embrasser la question des herbes folles. «Ce qui est considéré comme mauvaises herbes, ce sont des plantes que l'on a pas semées. Apprendre à les connaître et à les accepter peut régler le problème qu'elles semblent poser». «Une autre solution reste de travailler de façon préventive, en privilégiant des aménagements en gestion différenciée.»

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 19:06

 

Ils sont tombés aujourd'hui à 12h 30. Pas très longtemps, quelques minutes à peine.

 

Pas de quoi sortir notre nouveau tracteur.

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17 novembre 2017 5 17 /11 /novembre /2017 18:04

 

J'écrivais, il y a quelques jours, que notre station d'épuration fonctionnait très bien. Je crains que le prochain contrôle ne soit pas aussi positif.

 

En effet, une forte odeur d'hydrocarbures émanait cet après-midi de la station de relevage de la rue du Moulin. Une personne plus qu'indélicate ou totalement inconsciente a versé dans les conduites d'assainissement quelque chose comme du fioul (suite à un nettoyage de cuve ?).

 

Il a fallu faire pomper ce poste de relevage, mais également celui de la station d'épuration où un bassin sentait le fioul.

 

J'espère que cela n'aura pas de conséquences sur les roseaux de la station d'épuration et qu'ils ne seront pas détruits.

 

Pour nous les conséquences financières seront importantes : faire pomper puis envoyer ce liquide pour traitement dans un site approprié coûtera plusieurs milliers d'euros.

 

J'espère aussi que ce ne soit pas un acte de malveillance. On peut s'interroger au vu de certaines dégradations récentes dans le village.

 

Une personne fait l'imbécile et c'est toute la communauté qui paye. Plainte sera déposée.

 

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9 novembre 2017 4 09 /11 /novembre /2017 12:15

 

Nous avons reçu, hier à l'abbaye des Prémontrés à Pont-à-Mousson, la plus haute distinction qui reconnait l'engagement de notre collectivité dans une démarche "Zéro Pesticide".

 

Nous sommes engagés dans cette démarche depuis 2008 grâce à un écologiste que j'avais recruté dans l'équipe municipale afin de prendre en compte l'écologie au sein de la commune par ses connaissances pointues dans ce domaine. Passage de la théorie à la pratique : c'était le rôle du maire.

 

Crainte d'une certaine résistance au changement : tellement simple de vaporiser un produit chimique sur les mauvaises herbes une fois dans l'année. Plus compliqué d'utiliser les techniques alternatives existantes qui nécessitent de revenir plus souvent sur le terrain mais qui évitent les pollutions diffuses du sol ou de l'air. Du matériel  adapté a été acquis. De nouvelles méthodes et une autre organisation mises en place. Moins de contraintes que l'utilisation de produits phytosanitaires qui nécessitent des armoires de stockage sécurisée, des habilitations qui coûtent chers, l'obligation d'une "tenue de cosmonaute" pour répandre ces produits. Moins de risques aussi pour la santé des agents et des personnes à proximité.

 

Aujourd'hui, les craintes de plus de travail et de pénibilité se sont estompées. L'organisation est primordiale. Par exemple, un agent qui passe régulièrement au cimetière chaque semaine lui permet d'arracher quelques herbes, moins fatiguant que de passer des heures à désherber de grandes surfaces parce qu'on a laisser les herbes proliférer.

 

Depuis 2008, nous sommes au-delà des obligations réglementaires qui s'imposent désormais aux collectivités depuis le 1er janvier 2017 et bientôt aux particuliers.

 

Cette distinction est à l'initiative de la Région Grand Est avec le concours des Agences de l'eau Rhin Meuse, Seine Normandie (dont un objectif est de protéger les eaux souterraines et les rivières) et de la FREDON. Depuis 4 ans en Alsace, cette distinction existe en Lorraine depuis cette année.

 

Les communes acquièrent une, deux ou trois libellules en fonction du niveau de leur engagement. Du premier coup, nous avons obtenu la plus haute distinction.

 

Cela se traduira par un panonceau à chacune des entrées du village avec l'envie de conserver cette distinction et de sensibiliser nos habitants à la protection de leur environnement.

 

Ma commune sans pesticide. Nous sommes tous concernés.

 

Pourquoi une libellule ?

Cet insecte est le symbole de la bonne santé des milieux humides. On trouve des libellules près des cours d'eau et des étangs lorsqu'une certaine qualité de l'eau est préservée.

C'est un animal fragile et élégant, un des innombrables trésors de la biodiversité sur le territoire du Grand Est.

 

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9 juin 2017 5 09 /06 /juin /2017 16:31

Voici l'ensemble des infractions et délits allant à l'encontre du déploiement des compteurs Linky et à ENEDIS résumés ci-dessous tels que l'exposent les collectifs anti-linky :

 

1 – Pratiques commerciales agressives interdites par le Code de la consommation, en violation des articles L. 121-6, L. 121-7, L. 132-10 et L. 132-11.

 

2 – Installation forcée, hors la loi, en l’absence de la notion d’obligation d’installation, aussi bien dans la réglementation européenne que française.

 

3 – Installation contrainte, hors la loi, en l’absence de l’accord préalable du client et/ou de la signature d’un avenant, obligatoires en pareil cas.

 

4 – Violation de l’article 2 du Code civil.

 

5 – Violation des articles L. 111-1 et L. 111-2, L. 224-1 à L. 224-7, ainsi que R. 212-1 alinéa 3 et R. 212-2 alinéa 6 du Code de la consommation (interdiction de modifier un contrat unilatéralement).

 

6 – Pour les compteurs situés à l’extérieur d’une propriété, mais à l’intérieur de son bornage, et remplacés sans l’accord du client : violation des articles 226-4 et 432-8 du Code pénal.

 

7 – Pour le transfert des données personnelles des clients entre le compteur et le concentrateur par courant porteur en ligne (CPL) : absence d’une licence opérateur télécoms obligatoire, permettant la transmission de données (data) par voie hertzienne ou par onde radio sur le territoire national, en violation du décret no 93-534 du 27 mars 1993.

 

8 – Concernant la captation et l’utilisation sans autorisation de la courbe de charge et des données personnelles : violation des engagements signés par EDF avec la CNIL en juin 2014, ainsi que de la recommandation de la CNIL du 2 décembre 2010 et de sa délibération du 15 novembre 2012 ; violation de l’article L. 341-4 du Code de l’énergie, ainsi que de l’article 38 de la loi no 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.

 

9 – Pour l’absence de l’assurance responsabilité civile professionnelle et de l’assurance biennale et décennale obligatoires : violation des articles 1792-3, 1792-4 et 1792-4-1 du Code civil.

 

10 – Pour les emplois non qualifiés des poseurs de LINKY : violation du décret no 1998-246 « relatif à la qualification professionnelle exigée pour l’exercice des activités prévues à l’article 16 de la loi no 96-603 du 5 juillet 1996 relative au développement et à la promotion du commerce et de l'artisanat ».

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11 mai 2017 4 11 /05 /mai /2017 15:09

 

Tous les ans, la commission de suivi de site de la société SFTR (France Déchets) se réunit pour présenter son rapport d'activité.

 

Ci-dessous le résumé de ce rapport pour l'année 2016.

Installation de stockage de déchets non dangereux
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